Depuis quelques heures, certains médias et personnalités politiques pérorent sur les plateaux audiovisuels en mettant en cause la police nationale relativement aux mauvais traitements dont serait victime le terroriste Ayoub El Khazzani.
Ces personnalités publiques, en prenant fait et cause pour ce terroriste et en pointant du doigt les pouvoirs publics, cautionnent, justifient et encouragent le terrorisme.
Il y aurait, selon eux, de pauvres islamistes victimes d’une police nationale violente, raciste et islamophobe qui ne respecterait pas les droits de l’homme.
Dès lors, ces Islamistes auraient le droit à un crédit d’attentats pour réparer le préjudice dont ils seraient victimes.
Mais de quel préjudice parle-t-on ?
D’être conduit à l’issue de sa garde à vue devant la justice menotté, les yeux bandés et sans chaussure aux pieds (alors même qu’il a refusé de se chausser) !
Ces journalistes et personnalités politiques justifient ainsi le terrorisme, le cautionne et y incitent en expliquant que la police nationale persécute une certaine catégorie de la population.
Mais de quelle catégorie s’agit-il ?
Ils font ainsi eux-mêmes l’amalgame entre musulmans et terroristes.
Le syndicat France Police va déposer une plainte globale au pénal contre l’ensemble de ces personnes pour apologie et incitation au terrorisme.
Les débats « Galzi jusqu’à minuit » et « On ne va pas se mentir » diffusés sur I’Télé dans la nuit du 25 au 26 août 2015 seront au centre du litige et nous l’espérons au centre du débat judiciaire.