Une nouvelle vague de violences frappe depuis quelques heures les personnels de la sécurité intérieure.
A Arles, des collègues ont été blessés dans un guet-apens.
A Toulouse, des effectifs BAC ont été volontairement percutés par des fuyards.
Enfin, en Seine-Saint-Denis, un collègue BAC a été touché par balle lors d’une intervention sur un braquage. Son état est jugé désespéré.
L’auteur du coup de feu est un islamiste ayant profité d’une permission de sortie pour ne pas réintégrer sa cellule.
Il est hautement probable que les activités criminelles de ce qui s’apparente plus à un commando qu’à des braqueurs lambdas avaient pour finalité le financement de l’islam radical en lien avec une entreprise terroriste.
L’angélisme de la justice incarné par madame Taubira dont le seul objectif, il faut bien le dire, est de libérer toute la vermine qui gangrène notre société, n’est plus tolérable.
Après cette énième bavure judiciaire, oui il s’agit bien d’une bavure judiciaire, Christiane Taubira doit partir. Elle ne peut plus se maintenir à la tête du ministère de la justice.
Par ailleurs, les règles de la légitime défense pour les policiers doivent être revues, la donne depuis les attentats du 7 janvier 2015 ayant changé.
En outre, ce n’est pas uniquement de moyens dont la police nationale a besoin contrairement à ce qu’affirme monsieur Cazeneuve mais c’est aussi et surtout d’une justice qui protège en écartant définitivement la vermine du corps social sain.
Face à des criminels ayant perdu toutes formes d’humanité, la question du rétablissement de la peine de mort doit être posée sans tabou.