Le syndicat France Police présente ses condoléances aux familles et aux proches des victimes de l’attentat islamiste commis par un réfugié pakistanais demandeur d’asile à Berlin.
Cet attentat est la conséquence directe de la politique conduite par la chancelière Merkel et de l’Union européenne qui ont imposé aux peuples européens l’accueil de tous les clandestins, y compris économiques.
Les beaux discours se succèdent. Et de Nice à Berlin en passant par Paris, les mêmes mots rabâchés, la même pensée unique distillée comme unique vérité ; il faut continuer à accueillir les clandestins et accepter que les Européens se fassent massacrer au nom du vivre ensemble.
Toujours les mêmes recettes empoisonnées pour lutter contre le terrorisme ; renforcer la protection en attendant le passage à l’acte des terroristes au lieu de neutraliser les Djihadistes en amont.
Aucune mesure ne peut être à 100% efficace contre un terroriste déterminé armé d’un camion, d’une AK47, d’un couteau ou d’une ceinture d’explosif.
La seule protection valable est de refuser le vivre ensemble qui consiste à mixer les braves gens et les Djihadiste. Pour ceux déjà présents sur notre sol, l’expulsion ou la détention sont les seules réponses efficaces à apporter.
L’offensive russe en Syrie provoque la fuite de nombreux français combattants au Levant sous le drapeau de Daesh. Ces Djihadistes sont en train de rentrer en France pour échapper à la défaite annoncée de l’Etat Islamique.
La menace atteint un seuil critique en Europe et notamment en France. Nous sommes la principale fabrique de terroristes au niveau européen. C’est pourquoi nous conseillons à nos compatriotes de faire preuve de la plus grande vigilance lorsqu’ils circulent sur la voie publique et se trouvent dans des lieux publics.
Par ailleurs, France Police déconseille aux familles de se rendre dans les grands rassemblements de foule en cette période particulièrement sensible de la Noël et de la Saint Sylvestre.
Avant de penser aux retombées économiques, nous privilégions la sécurité de nos compatriotes.