Patrouille de police lourdement attaquée le 16 mai 2016 : les antifas écopent de peines dérisoires

16 mai 2016 police

Le code pénal ne prévoit-il pas une aggravation des sanctions lorsque des policiers sont visés ?

A la lecture du délibéré rendu ce matin au Palais de Justice de Paris, la question mérite d’être posée.

Mais pouvait-on s’attendre à un autre verdict dans cette affaire dès lors que les dès étaient pipés d’avance ?

Les faits commis par les antifas sont de nature criminelle et relèvent par conséquent d’une Cour d’Assise.

Or, ces faits ont été opportunément requalifiés en délits, évitant ainsi à leurs auteurs d’affronter un jury populaire.

Les pressions exercées sur la Justice, tout au long du procès par des groupuscules islamo-gauchistes, ont-elles eu un impact sur le verdict final ?

Quoi qu’il en soit, cette décision de Justice est un très mauvais signal envoyé à toutes les forces subversives du pays qui interprèteront ce verdict comme un permis d’agresser et de tuer du flic.

Les slogans entendus lors du procès et les écrits publiés sur les réseaux sociaux sont un excellent baromètre de l’état d’esprit de ces individus :

« Tout le monde déteste la police » (…) « Flics violeurs assassins » (…) « A la première, à la deuxième, à la troisième voiture brûlée, on aime tous les grillades de condé ».

Suite à l’extraordinaire clémence dont a fait preuve la Justice à leur égard, les antifas ont tenu à adresser un petit poème de remerciements à la Chancellerie en ces mots : « les tribunaux en feu, les juges au milieu ».

D’ailleurs le 21 septembre dernier, un petit feu de joie avait gentiment été allumé en solidarité avec les antifas injustement mis en cause par les méchants racistes qui sont partout.

Bilan : une gendarmerie calcinée à Grenoble. Trois fois rien..

En assistant à tel spectacle, France Police en viendrait presque à se ségolèniser.

Votre syndicat se sent prêt à céder aux tropismes de la gauche en appelant de ses voeux à un régime Castriste en France, celui-là même dont fait l’apologie madame Royal, la bonne maman de gauche.

Nul doute que feu l’ « ami » Fidel aurait su remettre – à sa façon – dans le droit chemin tous ces enfants égarés de la République..

La Justice en France est rendue au nom du Peuple. Le peuple se reconnaîtra-il dans ce verdit ?