Police de sécurité du quotidien : une coquille vide pour éviter d’aborder les vraies questions

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Vingt ans après la polprox de Lionel Jospin et deux décennies de politique de la Ville ayant ruiné le contribuable français, le président Macron reprend la sémantique de cette gauche bisounours évincée sur son bilan sécurité par les Français lors du premier tour de la présidentielle 2002.

La police brésilienne tisse-t-elle du lien social dans les Favelas avec les gangs de narcotrafiquants ?

Les forces de sécurité israéliennes mettent-elles en place des cellules de déradicalisation à Gaza ?

Nos collègues américains cherchent-ils à lutter contre les criminels sévissant à la Nouvelle-Orléans ou à Détroit en passant par des associations ?

Croire que réorganiser la police nationale aura un impact sur la sécurité des Français, c’est faire preuve d’une méconnaissance totale de la situation sécuritaire du pays.

La violence dans les quartiers a atteint un point de non-retour. Il n’y a plus de dialogue possible avec des individus qui veulent détruire la Nation. Les pouvoirs publics ont trop tardé à agir.

Désormais, pour rétablir un semblant d’ordre public, il faut s’inspirer des modèles sécuritaires mis en place par de grandes démocraties comme Israël, les Etats-Unis ou le Brésil.

Une approche sécuritaire particulièrement musclée associée au tout carcéral est la seule piste envisageable pour tenter de pacifier les banlieues.