Après 18 mois passés entre la place Beauvau et la métropole lyonnaise, le ministre de l’Intérieur claque définitivement la porte de notre Institution pour retrouver son fauteuil de maire.
Le départ précipité du premier flic de France est malheureusement la marque du mépris des politiciens pour notre profession et ses personnels.
Dix-huit mois d’immobilisme. Dix-huit mois pour rien. Aucune des réformes attendues par les policiers n’a été mise en œuvre.
Nous saluons malgré tout sa décision d’aller au bout de sa logique et de partir plutôt que de rester à contrecoeur pour éviter une crise de la macronie.