Dans vingt ans, si les policiers ayant respiré ces émanations hautement toxiques sont atteints de cancers, l’administration refusera de reconnaître le lien de causalité entre la maladie et cet accident industriel gravissime.
C’est pourquoi l’administration doit reconnaître quant à présent une blessure en service pour les collègues ayant été exposés aux fumées.