Notre syndicat de police condamne très fermement l’atteinte à la vie privé dont a été victime Benjamin Griveaux mais nous nous étonnons du deux poids, deux mesures.
Lorsque les policiers sont victimes de graves atteintes à leur vie privée (Copwatch et consorts), tout le monde s’en fiche éperdument. En revanche, lorsqu’il s’agit d’un politicien, tout le monde se scandalise.
Pourquoi la vie privée d’un politicien serait-elle plus précieuse que celle d’un policier ou de tout autre citoyen ?