
De 135 à 1.500 euros d’amende pour les français qui oseraient mettre un nez dehors le soir.. Et attention, pas plus de six personnes dans les domiciles privés !
Si le gouvernement passe son temps à s’inquiéter des atteintes aux libertés portées par les forces de police et de gendarmerie aux dealers et autres djihadistes, s’agissant des libertés individuelles et collectives des braves gens, la macronie ne s’embarrasse pas de gant et avance sans masque..
A l’heure où Dupond Moretti veut vider les prisons, les Français (ceux qui respectent la loi et payent impôts et contraventions), viennent d’être à nouveau condamnés à du ferme avec une peine de plusieurs mois d’incarcération à domicile.. Et il n’y aura pas d’aménagement de la sanction !
Les indicateurs sont clairs. L’ultra-majorité des décès liés au covid concerne des personnes âgées avec des pathologies aggravantes.
Doit-on pour autant laisser mourir nos anciens ? Évidemment non. Mais pourquoi ne pas confiner exclusivement les patients à risques et laisser les autres vivre normalement ?
Dans quelle mesure tout ce cirque arrange t-il la macronie, lui permettant ainsi d’éviter d’aborder les sujets politiques qui dérangent ?
Selon les médias, Macron aurait reçu TOUS les syndicats de police ce matin. C’est évident faux. Notre organisation, pourtant la cinquième sur l’échiquier syndical au sein du ministère de l’intérieur, n’a pas été conviée.
Seuls les syndicats macronistes ont été reçus à l’Elysée. Et pour cause ! Ce sont eux qui vont être chargés d’encourager nos collègues à appliquer la tolérance zéro dans le cadre des mesures liberticides décidées par le gouvernement pour combattre une mauvaise grippe.
Exercice d’équilibriste, puisqu’il faut, dans le même temps, faire accepter aux policiers, aux gendarmes et aux douaniers qu’ils se fassent massacrer sans réagir par la racaille, faute de loi suffisamment protectrice en matière de légitime défense pour les forces de l’ordre..
Il ne faudrait surtout pas qu’un policier riposte au risque de mettre le feu aux citées.. Mais chut !
Pas de vague. Pas de bavure. Collègues ! À vos procès-verbaux électroniques !