
Hier, lors d’un débat relatif au Covid sur la plateau de Jean-Marc Morandini sur Cnews, Philippe Herlin du CNAM, a accusé le gouvernement de manipulation affirmant que l’objectif était de créer une peur pour exercer un contrôle social de la population. Le couvre-feu est, selon lui, un moyen de faire taire la contestation et de mettre une chape de plomb sur la population.
Le mois dernier, une tribune signée par près de 350 scientifiques, universitaires et professionnels de santé critiquant la dérive de la politique sanitaire du gouvernement a été censurée par les médias. Parmi les signataires, figuraient notamment les Professeurs Christian Perronne, Jean-François Toussaint et Laurent Toubiana.
Les chiffres démontrent clairement que l’ultra-majorité des personnes à risques sont les patients très âgés ou présentant plusieurs facteurs de comorbidité. Dans ce cas, pourquoi ne pas mettre en place une politique ciblée de confinement visant uniquement les populations fragiles au lieu de priver l’ensemble des Français de leurs libertés fondamentales ?
La question mérite d’être posée. Mais ceux qui la posent sont très largement censurés et insultés de complotistes.
Les conséquences sociales et sociétales liées aux mesures ultra-liberticides prises par la Macronie risquent d’entraîner la France dans un chaos absolu. Ajoutées à l’islamisme radical, le risque de guerre civile prédit par le général Pierre de Villiers est bien réel.
Si la France plonge dans la guerre civile, policiers, gendarmes, douaniers et surveillants pénitentiaires en seront les premiers touchés. Les pouvoirs publics jouent avec le feu. Les politiciens doivent sortir de leur bulle et mesurer les conséquences que risquent d’entraîner la mise en œuvre de politiques très autoritaires à un peuple épris de libertés.