Pendant que la Macronie est occupée à dissoudre Génération Identitaire et que la défenseure des droits veut créer des zones sans contrôle d’identité, un migrant clandestin soudanais multirécidiviste ayant déjà été condamné et incarcéré pour des faits de violences, a poignardé à mort le chef de service du Cada de Pau

Le syndicat France Police – Policiers en colère a longtemps hésité à publier cet article. En menant une réflexion sur cette énième affaire où un migrant clandestin est mis en cause pour des faits criminels en France, ne risquons-nous pas d’être dissous comme Génération Identitaire ?

A-t-on encore le droit en France de critiquer l’immigration illégale ? Peut-on ne pas être d’accord avec la Macronie sans risquer des persécutions ?

Nicolas Sarkozy a supprimé la double peine qui permettait d’assortir une condamnation de droit commun à une mesure d’expulsion du territoire.

L’Union européenne a légalisé le statut des clandestins en interdisant aux états membres de les poursuivre sur le plan pénal. Désormais, la clandestinité n’est plus un délit.

Des individus comme Cédric Hérou qui aident les clandestins à entrer illégalement en France sont relaxés par la justice et déifiés par la bien-pensance alors que les militants qui dénoncent l’immigration illégale sont menacés de dissolution et de condamnations pénales.

Actuellement, partout sur le territoire français, de nombreux hôtels haut de gamme sont occupés par des migrants se revendiquant mineurs. Leurs frais de séjour pèsent sur les finances publiques pendant que le gouvernement fait des économies de bouts de chandelles sur la santé et la sécurité de nos concitoyens.

Pour de multiples raisons, la France est dans l’incapacité d’expulser les clandestins, y compris ceux qui menacent la sécurité nationale.

Et dire cela, ce n’est pas appeler à la haine contre les clandestins..Notre Nation doit le respect absolu aux personnes, y compris aux clandestins. C’est là tout notre honneur. Mais la France n’a pas vocation à accueillir toute la misère du monde.

Si nous voulons respecter les migrants et les accueillir dignement, notre pays ne doit pas dépasser ses capacités d’accueil.

Accueillir tout le monde et n’expulser personne malgré les décisions administratives rendues, ce n’est pas une politique, c’est juste le renoncement au principe de l’Etat de droit.